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À l’ère des coronavirus, il ne fait pas bon être assureur...

Étonnant paradoxe, dans un monde où les risques se multiplient et les attentes de la société sont immenses en matière de protection !

Pourtant, force est de constater que l’assurance, qui est fondamentalement une industrie de la confiance, est devenue source de défiance dans l’esprit des individus. Elle qui avait été créée par les entrepreneurs pour les entrepreneurs, afin de faciliter la prise de risque, a perdu son sens à leurs yeux.

Mécanisme de mutualisation du risque, l’assurance est en fait la victime de sa sophistication à travers le temps : à trop vouloir servir la collectivité au moyen de son ingéniosité technique, elle en a oublié de considérer l’individu qu’elle avait promis de protéger. Forcément, le fossé s’est creusé entre l’assureur et l’assuré.

Cette déconnexion n’est pourtant pas une fatalité. Grâce à la révolution digitale – qui a déjà commencé à transformer l’assurance en profondeur, en remettant le client au cœur de son modèle et en basculant vers la simplicité d’usage –, un nouvel équilibre entre l’individu et la mutualité peut aujourd’hui être trouvé, et le fil de la confiance se renouer progressivement.